Chez Suzanne Guité, comme chez tous ces êtres ayant choisi de vivre en pleine conscience, autant de questions se posent que de réponses surgissent au travers des veinures de pierres, tout autant que des nœuds d’errance, faisant flèche de tout bois.
Artiste, visionnaire, vibrante et par-delà universelle, cette chercheuse d’espace n’aura de cesse, sa vie durant, de palper la matière, sculpter la liberté, peindre et tisser la nuance teintée d’éternité migrante menant à la vérité profonde voulant : « qu’au moment où nous croyons que tout est éternel, invisible, voilà que, brusquement, nous nous retrouvons d’un seul coup désemparés, solitaires »